Liste des huiles, gouaches, aquarelles et pastels exposés par Édouard Rosset-Granger au Salon des Artistes Français puis au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, ainsi qu’à la Société des Aquarellistes Français et des Pastellistes Français.

1878 :
Débuts au Salon de la Société des Artistes Français.
« ÉTUDE DE NU » (N° 1943).

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1878 Etude de nu. SAF 1878 n° 1943.jpg

«  M. Rosset-Granger a peint une figure fort intéressante de jeune fille qui laisse tomber d’une corbeille au-dessus de sa tête, du grain pour les petits oiseaux à qui elle donne la pâture. Ce n’est qu’une étude, j’ai oublié de dire qu’elle était sans vêtement, mais le corps est si agréablement dessiné et si finement modelé, les faïences qui décorent le fond sont d’un ton si harmonieux que l’étude vaut bien un tableau »
(Journal Officiel de la République Française, 4 juin 1878, Salon de 1878 Peinture, article d’Arthur Baignères, page 6229).
(SAF 1878, Étude de nu N° 1943).

« La Petite Orientale de M. Rosset-Granger est tout simplement un bijou » (Le XIXe Siècle, 5 juin 1878, Salon de 1878, article de Joseph Reinach, page 3),
(SAF 1878, Étude de nu N° 1943).

« Etude ». Jolie étude de femme pubère et nue ; gorgette naissante, torse fin d’étude ; elle hanche bien. Ses jambes sont d’un bon dessin ; elle donne du grain à ses pigeons ; sa tête reçoit l’ombre reportée de la bannette. Elle se détache sur un fond de muraille à ornement. – En somme, un bon tableau. » (Dictionnaire Véron ou Mémorial de l’art et des artistes de mon temps, Le Salon et l »Exposition de 1878, article de Théodore Véron, page 499).

1879 :
« PORTRAIT DE MONSIEUR ETIENNE GANDERAX » (N° 2598) et « PORTRAIT DE MONSIEUR LOUIS GANDERAX », (N° 2599).
Aquarelle : « PORTRAIT DE MONSIEUR J. B… » (N° 4524).

« Rosset-Granger (Edouard). – Portrait de « M. E. G. » assis de face, coiffé d’une calotte. M. G. Tient à la main un crayon dont il va se servir sur ce papier étendu devant lui et semble réfléchir. Est-ce un artiste ou un littérateur ? Son expression méditative nous le ferait croire. – Le portrait de M. L. G. est une petite toile de 4, donnant la ressemblance de M. L. G. de trois quarts et en pleine lumière. Il est pâle et porte lunettes, moustaches et barbe. Les trais sont bien dessinés et délicatement peints. Bonne étude placée très haut » (Dictionnaire Véron, 1879,Mémorial de l’Art et des Artistes Contemporains,Le Salon de 1879,5ème Annuaire,Texte de Théodore Véron).

1880 :
Aquarelle : « PORTRAIT DE MADAME R… » (N° 5752).

1881 :
« ÉROS » (N° 2047) Huile sur toile 1460 x 1140 mm, tableau qui vaut à l’artiste une bourse de voyage en Italie.

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« …Tel est le sujet que M. Rosset-Granger a représenté cette année avec beaucoup d’éclat et une grande verve dans la couleur » (Salon de 1881, page 161/162).
(SAF 1881, Eros, n° 2047).

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Huile sur toile 380 x 300 Étude préparatoire pour Éros.Vente Massol 7 juillet 2010

1882 :
« PORTRAIT DE MA MÈRE » (N° 2340) Huile sur toile.

1883 :
« LA CHARMEUSE » (N° 2108) 1850 x 1140 mm, acquis par l’État (Musée Ingres de Montauban). La Charmeuse a été exposée de nouveau au Palais des Champs Élysées le 15 septembre 1883 sous le N° 612 à l’occasion de l’Exposition Triennale.

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Étude préparatoire à La charmeuse.
Craie noire, blanche et sanguine 490 x 355 mm, 1882.

« M. Rosset-Granger (est l’élève) de M.M. Dubufe et Mazerolle. M. Rosset-Granger a donné une note de début extrêmement délicate dans sa Charmeuse, une blonde s’enlevant en clair sur un ciel rosé » (Salon de 1883, article de Philippe Bury, page 87), (SAF 1883, Charmeuse n° 2108)

« Je ne veux pas me mettre mal avec le livret et le laisse dire, seulement je vais tuer le sommeil devant la jolie Charmeuse que M. Rosset-Granger a bien raison de baptiser de ce nom. C’est un rêve peint que cette délicate nudité qui se découpe sur des fonds chauds du soleil couché. Avec quelle grâce, son miroir en main, elle attire à elle les beaux aras blancs, la charmeuse ! La métamorphose a bien du bon. » (Journal des Artistes, 26 octobre 1883, Le Nu, l’Histoire, le Portrait (Salon Triennal) – 4e article, texte d’Hippolyte Devillers), (SAF 1883, Charmeuse n° 2108).

1883 :
« SOUVENIR DE CAPRI, GOLFE DE NAPLES » (N° 2109, Huile sur toile).

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1884 :
« ORPHÉE » (N° 2091), Huile sur toile 2900 x 2210 mm, acquis par l’État. Mis en dépôt au Musée de Carcassonne). Pour cette toile l’artiste se vit attribué une médaille de 3ème classe, bronze. Exposée ensuite à l’Exposition Universelle de Paris en 1889 sous le N° 1225a.

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M. Rosset-Granger. Orphée. – M. Philippe Burty écrivait l’an passé de cet artiste qu’il « avait donné une note de début extrêmement délicate dans sa Charmeuse ». M. Rosset-Granger n’a pas voulu demeurer en reste avec la sagacité d’un des maîtres de la critique moderne. Il a su laisser à l’éloge toute sa saveur de présage. Son Orphée de cette année, qui jette dans le ravissement les nymphes et les pasteurs, a adopté résolument la marche en avant. Il conduit sa palette gaiement dans la route claire du succès de bon aloi. Tout un courant rose et violet traverse cette traduction pittoresque du blond poème antique. Ces nymphes que M. Rosset-Granger a semées dans son tableau autour de la lyre d’Orphée, pour en boire les échos, sont écrites dans des formes très heureuses. M. Rosset-Granger a la doigté élégant et la pensée délicate. Avec un pareil bagage on va vite et loin dans le chemin des sympathies ». ( Le Salon de Paris illustré 1884, Jules Lemonnyer éditeur, article de Jacques de Biez, page 105) (SAF 1884, Orphée, n° 2091, acquise par l’Etat le 7 mai 1884 et mise en dépôt au Musée de Carcassonne).

« Enfin, dans la salle 28, à côté, je me remets devant la délicieuse toile de M. Rosset-Granger : Orphée. Dans un poétique paysage thracéen, le divin poète chante, la cythare à la main, un oiseau perché sur ce présent d’Apollon ; c’est une note charmante ! Les fauves se roulent à ses pieds. Au fond, le soleil couchant semble écouter ; et, comme dit la tradition, les vents tournent leur haleine du côté du charmeur. La tonalité de cette toile tout à fait supérieure est douce, d’une chaleur apaisée. Les choses sont émues. Les bergers et les nymphes sont dans l’immobilité d’un enchantement élyséen. La jeune femme nue, assise au premier plan du tableau, est un morceau de pureté de formes et de grâce étonnante. Tout chante en sourdine et s’harmonise à souhait dans cette œuvre tout à fait imprégnée d’une mélodieuse saveur orphique » (Journal des Artistes, 25 mai 1884, Le Nu et l’Histoire au Salon de 1884, article d’Adolphe Bonnet, page 2) (SAF 1884, Orphée n° 2091).

1885 :
« ÉTUDE DE NU FÉMININ A DEMI COUCHÉE SUR DES OREILLERS, AU LIVRE TOMBÉ DES MAINS » (N° 2131) Huile sur toile 1170 x 1600 mm. Exposée ensuite à Versailles en 1886, (N° 323). Toile figurant dans l’atelier de l’artiste à sa mort. Don par Marcelle Rosset-Granger au Musée des Beaux-Arts de Dijon en 1935 (Reproduction dans Gil Blas du 28 octobre 1894).

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1885 Nu au livre tombé des mains 1170 x 1600 (Gil Blas 1894)

« Rosset-Granger (Edouard) – « Étude » de jeune fille  nue et endormie, la tête reposant sur un coussin jaune qu’inondent ses cheveux épars. Elle rêve sans doute sous l’impression de sa lecture, dont le roman lui a échappé des mains. Une draperie vert d’eau enveloppe sa nudité qu’elle couvre de sa main gauche. – La pâmoison de ses traits et l’épanouissement des ses lèvres dénoncent un rêve voluptueux. – L’étude de cette belle jeune fille, pleine se sève, est bonne et bien rendue ».(Dictionnaire Véron ou Organe de l’Institut Universel des Sciences, des Lettres et des Arts du XIXe Siècle (Section des Beaux-Arts), Salon de 1885, 11e Annuaire de l’Art et des Artistes Contemporains, Peinture, article de Théodore Véron, page 397) (SAF 1885, Etude de nu féminin n° 2131).

Aquarelle : « PORTE D’ÉGLISE A SORRENTE, Italie » (N° 3166).

1886 :
« LES HIÉRODULES » (N° 2060). Huile sur toile 880 x 571 mm. Exposée ensuite à l’Exposition Universelle de Paris en 1889 (N° 1225), ce qui lui vaut une Médaille d’argent du Jury du Salon des Artistes Français.

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« Je citerai encore, parmi les scènes mythologiques, les Hiérodules, de M. Rosset-Granger. Les Hiérodules étaient les esclaves de Vénus Erycine ; elles attiraient les navigateurs sur leur rocher, et leur donnaient de voluptueuses récréations.
La scène imaginée par M. Rosset-Granger est ingénieuse : les Hiérodules sont groupées sur un rocher ; l’une agite sa ceinture blanche ; l’autre présente des fleurs ; une troisième joue de la cythare ; au second plan, on voit des femmes nues qui soufflent dans des trompes et qui font des signaux. L’artiste a très habilement masqué le vide qu’il a été obligé de laisser voir pour montrer la mer ; pour que la scène reste chaste, il n’a même pas peint une silhouette de bateau dans le lointain ; malheureusement, l’ensemble est un peu terne, alors qu’il faut à l’épanouissement de l’être humain, l’éclat du soleil ».(Le Petit Journal, 20 mai 1886, Le Salon, VI- Le Nu, article d’Henri Escoffier, page 2)  (SAF 1886, Les Hiérodules au Mont Eryx, n° 1060).

1887 :
« LA CUEILLETTE DES FIGUES, SOUVENIR DE CAPRI » (N° 2073, Huile sur toile 1660 x 1750 mm), acquis par l’État le 12 juillet 1887. Mis en dépôt au Musée Granet d’Aix-en-Provence.

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Étude préparatoire pour La cueillette des figues à Capri.
Craies noire et sanguine 475 x 305 mm, 1886.

« Nous voici dans le midi, à Capri, dans un de ces beaux payés aimés du soleil. Arrêtez-vous devant ce magnifique site où de belles jeunes filles font la cueillette des figues. Le paysage est embrasé de lumière. C’est la vérité même. On croirait dans les maigres broussailles entendre chanter les cigales. Cette atmosphère lumineuse et chaude des pays méditerranéens, M. Rosset-Granger l’a rendue avec une puissance merveilleuse. Comme elles sont bien naturelles, d’une pose
à la fois juste et séduisante, ces belles filles aux cheveux noirs, au visage bruni par le soleil, aux yeux si expressifs. J’avoue que je suis très embarrassé pour faire la critique de cette toile et que je suis forcé de dire, avec tout le monde, qu’elle est parfaite » (Paris-Salon 1887, article de François Bourmand, page 51) (SAF 1887, La Cueillette des Figues, Souvenirs de Capri, n° 2073).

1888 :
« LES VENDANGES A CAPRI » (N° 2187). Panneaux décoratifs pour l’hôtel de Monsieur Henry Durand.
« Enfin au-dessus, un grand panneau décoratif de M. Rosset-Granger pour l’hôtel de M. H. D… (Henri Durand). C’est d’un motif italien que s’est inspiré l’artiste : « les Vendanges à Capri ». Le ciel est bleu, tacheté et jouant bien ; la mer est bleue aussi et dans ses ondes se reflète un coin de falaise qui rappelle les violences de la Provence que M. Montenard affectionne. De chaque côté circulent d’aimables romaines, gracieuses et légères ; de chaque côté aussi des colonnes de marbre dont la vigne cache les chapiteaux, froids ici, ensoleillés là, balançant agréablement une composition où l’esprit inventif de l’artiste s’est, avec succès, donné libre carrière » (La Vie artistique, Le Salon de 1888, article d’A. Hutin, page 146) (SAF 1888, Les Vendanges à Capri, n° 2187).

« Salle 29. (…) Traitées au point de vue décoratif, les Vendanges à Capri, par M. Rosset-Granger, n’en laissent pas moins une grande impression de réalité et de vérité : sur un fond de mer bleue, aux chauds rayons d’un soleil ardent, de belles jeunes filles charrient sur leurs têtes des corbeilles de raisins qu’elles viennent vider sur un terrain tapissé de treilles. Cela en est gaie, clair, chaud, d’une belle coloration et d’un grand effet. » (Moniteur des Arts, 8 juin 1888, Salon de 1888, Texte d’Emile Cardon, page 1), (SAF 1888, Les Vendanges à Capri, n° 2187).

1889 :
« OPHÉLIE » (N° 2333, Huile sur toile)

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« Sous les lueurs rosées du crépuscule, la blonde Ophélie, ceinte d’une couronne et portant une jonchée de fleurs dans son écharpe, s’avance vers son linceul de cristal. Sa physionomie est calme et sereine ; ses grands yeux, doucement rêveurs, semblent refléter toutes les joies du ciel. Je n’ai pas besoin d’affirmer mes préférences pour cette poétique composition, qui est signée Rosset-Granger » (Répertoire de la Comédie Française, 9 juin 1889, article de Charles Gueullette, page 53) (SAF 1889, Ophélie, n° 2333).

« … mais je préfère encore à cette toile l’Ophélie du même artiste. Une poésie infinie se dégage de cette belle figure de femme » (La Souveraineté, 26 mai 1889, Le Salon de 1889, article de Jean de Polane, page 3)  (SAF 1889, Ophélie, n° 2333).

1889 :
« NU PRES DU FEU » (N° 2334), panneau décoratif, 686 x 406 mm.  Vendu Falkoos Malmö le 15 novembre 1997, lot 532. Vendu Uppsala Stockholm le 28 mai 2004 pour 3233 €.

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Huile sur toile 686 x 406 dédicacé « à G. Dubufe, son fraternel ami ». Vente Uppsala Stockhölm 25 mai 2004

« Un autre habile décorateur, M. Rosset-Granger, transforme à peine la réalité pour en faire une allégorie, en représentant une femme nue, tenant de longues pincettes, « Près du feu », dont les lueurs illuminent étrangement. A côté de cette fantaisie décorative, M. Rosset-Granger expose une fantaisie littéraire, Ophélie, suspendue aux branches d’un saule, et prête à se laisser aller au fil de l’eau… » (Le Salon de 1889, article de Georges Lafenestre, page 74) (SAF 1889, Nu près du feu, n° 2334 et Ophélie, n° 2333).

« Près du feu, une curieuse toile de M. Rosset-Granger. Sur une peau de tigre, devant un feu clair, une femme nue est nonchalamment étendue. Le reflet des flammes est merveilleusement rendu » (La Souveraineté, 26 mai 1889, Le Salon de 1889, article de Jean de Polane, page 3)  (SAF 1889, Nu près du feu, n° 2234).

1890 :
Édouard Rosset-Granger est membre fondateur de la Société Nationale des Beaux-Arts de Paris  qui vient de faire scission avec la Société des Artistes Français. Première exposition du Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts.
« CACHE-CACHE » (N° 773), Huile sur toile 1400 x 1800 mm, acquis par l’État (Palais de Longchamp à Marseille),

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1890 :
« SOIR DE FÊTE EN PROVENCE » (N° 774),

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1890-un-soir-de-fete-en-provence-salon-de-la-ste-nationale-des-beaux-arts-de-paris-1890« Pour M. Rosset-Granger aussi, cette épreuve est l’occasion d’une manière de triomphe. Distingué dès sa sortie de l’atelier et récompensé par le prix du Salon d’une suite de travaux dont l’Eros vainqueur reste le type le plus intéressant, ce jeune artiste, d’esprit libre et curieux, n’a pas voulu se cantonner dans des régions où il avait trouvé ses premiers succès. (…) Le Soir de fête en Provence est une des plus jolies toiles que contienne ce Salon, c’est miracle que d’avoir su conserver à la mer une coloration si nuancée et si fine, à côté de l’aveuglant éclat des lanternes orangées » (Gazette des Beaux-Arts, Paris 1er juillet 1890, Les Salons de 1890, article de Léopold Mabilleau, page 22) (SNBA 1890, Soir de fête en Provence, n° 774)
«  A noter aussi et entre tous, le nom de Rosset-Granger. Son Soir de fête où les lanternes japonaises oscillent toutes roses sur le bleu sombre de la Méditerranée, sa bastide qui apparaît entre les feuilles grêles des oliviers et en un fouillis de fleurs et d’herbes folles, sont deux des meilleures tableaux de cette exposition ».(Gil Blas, 15 mai 1890, Le Salon National, article de René Maizeroy, page 1) (SNBA 1890, Soir de fête en Provence n° 774 et En Provence n° 780)

1890 :
« CRÉPUSCULE » (N° 775), « FARNIENTE » (N° 776),

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1890-farniente-salon-national-des-beaux-arts-de-paris« Nous ne quitterons pas le chapitre du nu sans mentionner le Farniente où M. Rosset-Granger a trouvé de bien savoureux modelés »(Revue de Famille, 1er juin 1890, Le Salon du Champ de Mars, article de Paul Rouaix, page 449) (SNBA 1890, Farniente n° 776).

1890 :
« PETITE FILLE ARABE » (N° 777) Huile sur panneau 410 x 325, Vente Gros & Delettrez 11 juin 1997.

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1890 :
« UNE VAGUE, ÉTUDE » (N° 778) Huile sur panneau d’acajou 286 x 396,

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1890 :
« LE FIER COUDON, PROVENCE » (N° 779),

1890 :
« EN PROVENCE » (N° 780),
Huile sur toile 600 x 750 mm.

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1890 600 x 750 En Provence. SNBA 1890 n° 780 (Marché Dauphine Gaelotti -Jaulneau 1650 €)

« Nous trouvons un exemple de cette sincérité dans le Vendangeur en Provence de M. Rosset-Granger où les effets d’ombre violette portée par les feuillages (en dehors du tableau) sur les chairs, sont d’une audace et d’une justesse remarquables » (L’Indépendant Rémois, 18 octobre 1890, Le Salon, Exposition de Peinture, Sculpture de la Société des Amis des Arts – V, Texte de A. Maurice).

1890 :
Aquarelles : « PORTRAIT DE MONSIEUR A. F… » et « PORTRAIT D’ÉTIENNE GANDERAX EN MATAMORE.

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1891 :
« L’EAU, FLEUR DE NUIT » (N° 818),

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Craie sanguine 306 x 220 mm, 1891.

« Rosset-Granger, qui expose en outre une charmante fantaisie de nu intitulée : Fleur de nuit » (Les Salons de 1891, article d’Armand Dayot, page 8) (SNBA 1891, Fleur de nuit, n° 818)

1891 :
« A LA RAFFINERIE, LA CASSERIE » N° 819, Huile sur toile,

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e-rosset-granger-etude-de-pose-dune-ouvriere-dans-une-sucrerie-pour-la-peinture-a-la-raffinerie-de-sucre-beghin-1891-craie-sanguine-350-x-250

Deux dessins préparatoires pour « A la raffinerie, la casserie »
Sanguine 320 x 240 et 350 x 250 mm.

« La Casserie de M. Rosset-Granger nous retient par l’exactitude de la scène » (Le Figaro Salon, 20 juin 1891, article d’Albert Wolff, page 108) (SNBA 1891, A la Raffinerie, la Casserie, n° 819).
«  M. Rosset-Granger, le peintre des Hiérodules, fort remarquées il y a quelques années au salon a exposé La Raffinerie de sucre qui lui valut un franc succès l’an dernier. Le tableau d’une observation très intense et très juste, conçu comme une gamme composée de bleus et de roses… » (L’Ouest artistique, 1891, page 351) (SNBA 1891, A La Raffinerie, la Casserie, n° 819).

1891 :
« PORTRAIT DE MA MÈRE » (N° 820), « COUSEUSE » (N° 821) et « LA MONTAGNE DE TOULON » (N° 822).
Société des Pastellistes Français : « L’ÉVENTAIL » (N° 132), « L’ÉCRAN » (N° 133), « TÊTE D’ÉTUDE » (N° 134), « PORTRAIT DE MADAME GASTON SCIAMA » (N° 135), « CRÉPUSCULE, ÉTUDE » (N° 136) et « ÉTUDE » (N° 137).
« Le Crépuscule de M. Rosset-Granger vaut également par la curiosité de sa recherche et par la nature de son exécution » (Le matin, 9 février 1891, L’Art à Paris – L’Épatant, article de Gustave Goetschy, page 2) (Société des Pastellistes Français 1891, Le Crépuscule, étude n° 136).
« Une femme à l’écran, éclairée par le feu de M. Rosset-Granger » (Le Gaulois, 4 avril 1891, Les Pastellistes, article de Jean Régnier) (Société des Pastellistes Français, L’écran n° 133)
.

1892 :
« L’ÉPAVE » (N° 888, Huile sur toile),

e-rosset-granger-gravure-de-victor-avril-dapres-lepave-1893« Monsieur Rosset-Granger montre un corps de femme, roulé par le flot, dans un bon effet de raccourci »(Le Salon de 1892, article de Gustave Larroumet, page 15) (SNBA 1892, L’Epave n° 888).

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1892 L'Epave, Etude préparatoire 420 x 700 (Cachet Atelier au dos) Vendu Ebay 12.12.2016 pour 882 €urosEtude préparatoire, Huile sur toile 420 x 700 mm. Vendu sur EBay le 12 décembre 2016

1892 :
« JEUNE FILLE CHASSANT LES PAPILLONS » (N° 889, Huile sur toile),

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1892-jeune-fille-chassant-un-papillon-salon-nationale-des-beaux-arts-paris-1892-et-salon-de-chicago-1893« M. Rosset-Granger est en très grand progrès dans ses quatre toiles, la Jeune fille chassant les papillons est un tableau clair, aimable et plein de lumière » (Le Figaro Salon 1892, article de Charles Yriarte, page 107) (SNBA 1892,  Jeune fille chassant les papillons, n° 889).
« C’est une idylle printanière. Au pied d’un perron aux marches basses, faciles, et qui semblent vous inviter à les franchir, une jeune fille, dans la prime-fleur de son printemps, armée du filet vert, en gaze transparente, donne la chasse aux papillons blancs. Comme sujet, c’est mince, et il n’y a pas de quoi révolutionner les empires. Mais, en art, l’exécution est beaucoup, si elle n’est pas tout. Et l’exécution de M. Rosset-Granger est pleine de grâce et d’élégance. Il y a beaucoup de suavité dans la tête blonde ce cette jeune châtelaine, très séduisante dans sa simple petite robe du matin, dont la mousseline modeste (ô sainte mousseline !) se rehausse d’un ruché de dentelle écrue.
Le geste est plein de naturel ; la main gauche relève négligemment le pli tombant de la jupe, et par un mouvement souple, le corps mince et svelte se penche en avant, tandis que le bras droit, armé de l’engin léger mais perfide, s’avance pour happer l’inconsciente victime. C’est un souffle, c’est un rien et c’est un aimable tableau. Que pourrions-nous demander de plus, à l’auteur, un jeune et un sympathique » (Paris-Salon 1892, article de Louis Enault, page 7) (SNBA 1892, Jeune fille chassant les papillons, n° 889).

1892 :
« LUNE ROUSSE » (N° 890),
« La Lune rousse de M. Rosset-Granger est d’un modernisme gentiment spirituel ». L’Artiste, Revue de Paris, juin 1892, La Peinture au Salon du Champ-de-Mars 1892, article d’A. Tausserat-Radel, page 416) (SNBA 1892, Lune rousse, n° 890).
« M. Rosset-Granger a trouvé, pour modifier la sienne (de manière) et abandonner les orangés et les bleus intransigeants, un motif des plus simples et à la fois des mieux agencés. Nous sommes dans la salle à manger, la table est dressée, Madame – une jeune et jolie personne – est à sa place dans l’attente. Devant elle, le couvert du mari absent. On se boude. C’est la Lune rousse. La page est charmante : les détails y sont écrits avec esprit. Un peintre de genre, qui fera son chemin, est né. Ce Salon nous en avertit » (Le Salon de 1892, article de A. Hustin, page 86) (SNBA 1892, La Lune rousse, n° 890).

1892 :
« SAINT JEAN-BAPTISTE ENFANT » (N° 891).
« Nous signalerons encore, pour en avoir fini avec les pieuses images, le Saint Jean-Baptiste enfant, archaïque, et sur fond mosaïqué de M. Rosset-Granger, aimable caprice de peintre, mais qui ne saurait avoir grande portée » (L’Artiste, Revue de Paris, Histoire de l’art contemporain, juin 1892, La peinture au Salon du Champ-de-Mars 1892, article d’A. Tausserat-Radel, page 409) (SNBA 1892, Saint Jean-Baptiste enfant, n° 891).

Pastels : « SOUVENIR DE VENISE » (N° 1367), « LE VÉSUVE » (N° 1368), « LA PORTE DU TRANSEPT DE L’ARA CALI A ROME » (N° 1369), « ÉTUDE POUR UN DIPLÔME » (N° 1370), « ÉTUDE POUR UNE DÉCORATION »  (N° 1371).

Société des Pastellistes Français : « LASSITUDE » (N° 112)°,

« M. Rosset-Granger a une amusante petite femme à la lampe, dans deux lumières, une froide et une chaude, et d’un joli modelé. » (Le Progrès Artistique, 14 mai 1896, Le Salon du Champ de Mars, Texte de Papirus Carbo, page 150), (SNBA 1896, Lassitude n° 1089).

« AU CRÉPUSCULE » (N° 113),
« M. Rosset-Granger sous ce titre : Au crépuscule, une femme demi-nue (peut-être l’est-elle tout à fait) assise au bord de la mer et tenant une lanterne vénitienne sur ses genoux. Voila un sujet aussi dépourvu d’intérêt que de sens commun » (Le Correspondant, volume 167, 1892, page 390) (Société des Pastellistes 1892, Au crépuscule  n° 113).

« M. Rosset-Granger est aussi un idéaliste à sa manière car il faut se transporter dans les hautes sphères de la fantaisie pour rencontrer de jeunes mortelles nues, assises la nuit au bord des mers, tenant en main une lanterne vénitienne qui les éclaire d’un reflet charmant. Tout est là, et sans contester l’authenticité de cette aventure étrange, nous applaudirons à cette recherche d’un éclairage téméraire dotant de reflets roses et japonais un corps de femme aux chairs souples et veloutées. » (Journal des Artistes, 17 avril 1892, Exposition des Pastellistres, Texte de Paul Gilbert, page 114), (Société des Pastellistes Français 1892 : Lassitude n° 112, Au crépuscule n° 113, Japonerie n° 116).


« PORTRAIT DE MONSIEUR D. » (N° 114), « LES ARÈNES DE LA RUE PERGOLESE, VUES DE LA PORTE MAILLOT » (N° 115), « JAPONERIE » (N° 116), « LE CHEMIN DE FER » (N° 117) et « JEUNE FEMME AU TAMBOUR BASQUE ou LA BAYADÈRE, Gouache et Pastel 921 x 650 mm, Donation Henri Vasnier au Musée des Beaux-Arts de Reims ».

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« Nous signalerons à votre attention les paysages de M. Edmond Yon, la Sainte-Cécile de M. Dubufe fils, les pastels de M. Rosset-Granger, celui-ci a varié les effets de lumière dans les œuvres qu’il expose ; la jeune bayadère, qui parait recevoir le jour de la rampe d’un théâtre, est particulièrement intéressante » (La Presse, 31 mars 1892, 8ème exposition des Pastellistes Français, article de A. de la Perelle, page 2) (Société des Pastellistes Français 1892 : Femme au tambour basque ou La Bayadère).

1893 :
« PORTRAIT DE MA MÈRE » (N° 906), Huile sur toile 1300 x 1280. Don de Pierre Dehay, le neveu de l’artiste au Musée Henri Boez à Maubeuge en 1979)

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1893-1300-x-1280-portrait-de-la-mere-de-lartiste-agee«  Pour l’intimité et le charme sobre de sa peinture, le Portrait de ma mère (906) de  Rosset-Granger » (The Athenaeum, 1893, volume 101, n° 3402 à 3426, article d’André Michel, page 706) (SNBA 1893, Portrait de ma mère n° 906).

1893 :
« PORTRAIT DE MADAME GASTON SCIAMA » (N° 907), « PORTRAIT DE MADAME M. B… » (N° 908),
«  Rosset-Granger, charmants portraits, très sincères, intimes et persuasifs ; une jeune femme interrompt sa lecture, qu’elle semble achever dans une rêverie ; une autre en toilette de bal, écoute un interlocuteur invisible, interroge du regard et ne pense pas à sa toilette ; une vieille dame qu’on devine d’une ressemblance intimement pénétrée » (Journal des débats politiques et littéraires, 9 mai 1893, Le Salon du Champ de Mars, article d’André Michel, page 1) (SNBA 1893, Portrait de ma mère n° 906, Portrait de Madame G. Sciama, n° 907 et Portrait de Madame M. B, n° 908).

1893 :
« LA SEINE A LA ROCHE GUYON » (N° 909), « LA ROUTE DE LA ROCHE-GUYON » (N° 910),

« LA BOULE » (N° 911), Huile sur toile 755 x 615 mm. Vendu Galerie Charvet Paris novembre 2020.

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1893 755 x 615 La Boule. SNBA 1893 n° 911. Galerie Charvet, Paris novembre 2020 1650 €
« La Boule de M. Rosset-Granger, un peintre qui se portraiture dans une boule de verre au milieu d’un jardin » (Gil Blas, 10 mai 1893, Champ de Mars, article de Firmin Javel, page 3) (SNBA 1893, La Boule n° 911).

« Galerie III. Et de M. Rosset-Granger, une Boule de jardin bourgeois, reflétant toute une scène et qui fera la joie du public du dimanche. » (Journal des Artistes, 14 mai 1883, Le Salon du Champ de Mars, page 154), (SNBA 1893,  La boule n° 911).

1893 :
« MARINE, ÉTUDE » (N° 912).

Société des Pastellistes Français : « L’ÉGLISE DE FRENEUSE, EFFET DE LUNE » N° 107), « LA VIEILLE AMÉRIQUE, VUE DES FORTIFICATIONS, CRÉPUSCULE D’ÉTÉ » (N° 108), « LA FUSÉE » (N° 109), « L’OMNIBUS, PLACE DE LA MADELEINE, ONZE HEURES DU SOIR » (N° 110), « VUE DU COIN DE LA RUE ROYALE, CRÉPUSCULE D’AUTOMNE » (N° 111), « L’HIPPODROME, DIX HEURES DU SOIR » (N° 112), « PORTRAIT DE MADAME D… » (N° 113) et « PORTRAIT D’ENFANT, LE FILS DU COMTE CHARLES DE BRISSAC » (N° 114).

«  M. Rosset-Granger se prend à des motifs crépusculaires et à des nocturnes ; il exploite Paris au clair de lune et aux diverses heures de la nuit ; c’est là la nouvelle incarnation d’un peintre laborieux qui va bientôt se fixer » (Le Figaro, 13 avril 1893, Exposition de la Société des Pastellistes, article de Charles Yriarte, page 2) (Société des Pastellistes Français 1893).
M. Rosset-Granger excelle aux effets nocturnes et aux éclairages ingénieux » (La Presse, 14 avril 1893, Les Pastellistes, article de Gérard de Beauregard, page 3) (Société des Pastellistes Français 1893)

1894 :
« PORTRAIT DE MADEMOISELLE MIREILLE DUBUFE » (N° 1003), Huile sur toile

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1894 Portrait de Mademoiselle Mireille Dubufe (SNBA 1894 n° 1003)

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1894 Portrait de Mademoiselle Mireille Dubufe avec texte ERG (SNBA 1894 n° 1003)

« Rosset-Granger. – Portrait de Mlle Mireille Dubufe, Le chapeau sur la tête et gantée à l’airo, la fillette descend l’escalier de son « home » pour sortir. Elle s’arrête un moment, rêveuse, et son parrain qui est pour le moment son peintre, en profite pour tâcher de faire son portrait… « Maintenant allez jouer Mademoiselle ! ». (Journal des débats politiques et littéraires, 1er mai 1894, Les Salons de 1894, les artistes par eux-mêms, texte manuscrit rédigé par Edouard Rosset-Granger).

« Salle IV. … Celui-ci est grandeur nature, mais il n’empêche pas de voir la modeste toile dont M. Rosset-Granger a fait un joyau avec le portrait de la petite Mireille Dubufe descendant un escalier » (Le Journal, quotidien littéraire, artistique et politique, 24 avril 1894, Salon du Champ de Mars, ce qu’il faut voir, article d’Edouard Hubert, page 3) (SNBA 1894, Portrait de Mademoiselle Mireille Dubufe n° 1003).

Société des Pastellistes Français : « PORTRAIT DE FILLETTE, LA FILLE DU COMTE CHARLES DE BRISAC » (N° 126), « PORTRAIT D’ENFANT, LE FILS DE M. LOBRE » (N° 127), « LA BULLE DE SAVON » (N° 128), « CREPUSCULE » (N° 129), « PORTRAIT DE MA MERE » (N° 130).

« PORTRAIT DE MONSIEUR LOUIS GANDERAX » (N° 131) et « PORTRAIT DE MONSIEUR JACQUES NORMAND » (N° 132).
« Au milieu des cadres de M. Rosset-Granger, deux physionomies connues, M. Louis Ganderax et M. Jacques Normand, tous deux un peu moins aimables que nature » (Le Figaro, 2 avril 1894, Société des Pastellistes Français, article de Charles Yriarte, page 2) (Société des Pastellistes Français 1894, Portraits de M.M Louis Ganderax et Jacques Normand)

1895 :
« ÉTUDE DE NU » (N° 1076), Huile sur toile.

1895 :
« PORTRAIT DE MADEMOISELLE C. M… » (N° 1077),
« Une jolie étude de mer de M. Rosset-Granger et surtout son très spirituel portrait de jeune fille en blanc sur fond bleu nous fait bien finir de ce côté-là » (Le Journal, Quotidien littéraire, artistique et politique, 24 avril 1895, Salon du Champ de Mars 1895, article d’Edouard Hubert, page 4) (SNBA 1895, Portrait de Mademoiselle C. M… n° 1077 et L’Espérance n° 1078).

1895 :
« L’ESPÉRANCE » (N° 1078), Huile sur toile 1300 x 1300, acquise par l’État le 26 juin 1896. Mis en dépôt au Musée André Malraux du Havre,

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Une jolie étude de mer de M. Rosset-Granger et surtout son très spirituel portrait de jeune fille en blanc sur fond bleu nous fait bien finir de ce côté-là » (Le Journal, Quotidien Littéraire, Artistique et Politique, 24 avril 1895, Salon du Champ de Mars 1895, article d’Edouard Hubert, page 4) (SNBA 1895, Portrait de Mademoiselle C. M… n° 1077 et L’Espérance n° 1078).
« M. Rosset-Granger tient le côte opposé à la porte avec une figure très intéressante, une femme portant un fanal la nuit au bord de la mer. C’est une des œuvres les plus sérieuses de l’artiste » (Le Figaro, 24 avril 1895, article de Charles Yriarte, page 3) (SNBA 1895, L’Espérance n° 1078).

« M. Rosset-Granger personnifie l’Espérance, sous la figure d’une belle personne toute enveloppée de voiles, couronnée d’une guirlande de pervenches, et qui tient avec précaution entre ses deux mains un énorme falot allumé dont elle éclaire la solitude où elle se trouve, une rive déserte, les flots de la mer à perte de vue et plusieurs lignes de noirs récifs. Le tableau qui est grand et de forme ovale, prend de cette lumière artificielle une harmonie de reflets très curieuse disant bien ce qu’est le talent du coloriste qui l’a signé. » Journal des Artistes, 21 juillet 1895, Les Salons, Le Salon de 1895 (Champ-de-Mars), Texte de A. -E. Guyon-Verax, page 1110),  (SNBA 1895, L’Espérance n° 1078, acquise par l’Etat le 26 juin 1895 et mise en dépôt au Musée du Havre en avril 1896).

1895 :
« PORTRAIT de MONSIEUR GASTON SCIAMA » (N° 1080).
Société des Pastellistes Français : « PORTRAIT D’UNE PETITE ENFANT BLONDE, MADEMOISELLE A. B. » (N° 131), « PORTRAIT DE MADEMOISELLE MIREILLE DUBUFE EN COMMUNIANTE  » (N° 130) et « NUIT » (N° 132).

1896 :
« LE BERCEAU » (N° 1085), « LA SOUVENANCE » (N° 1086),
« Nous rencontrons, comme perdue dans une encoignure, « Souvenance » de M. Rosset-Granger : après tout, peut-être, le calme de cette partie retirée de la salle si mondaine convient-il mieux à cette tête étrange aux yeux inquiets, fiévreux, aux lèvres décolorées, mortes, qui pourrait aussi bien symboliser la douleur, faire une belle enluminure dans un livre d’heures ou encore faire le sujet d’un émotionnant vitrail dans une vieille cathédrale » (Le Coloriste enlumineur, 15 mars 1896, texte de Louis de Lutèce, page 88) (SNBA 1896, La Souvenance, n° 1086).

(…) une figurine suggestive, de M. Rosset-Granger, qu’il baptise Souvenance, brune aux yeux d’un bleu sombre et profondément absorbés, les cheveux parés de pervenches ». (Journal des Artistes, 8 mars 1896, Exposition du Cercle de l’Union Artistique, Texte de A.-E. Guyon-Verax, page 1374),  (SNBA 1896, La Souvenance, n° 1086).

1896 :
« PORTRAIT DE MADAME R. D… » (N° 1087),

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1896 :
« ÉTUDE » (N° 1088), « LASSITUDE » (N° 1089)

« M. Rosset-Granger a une amusante petite femme à la lampe, dans deux lumières, une froide et une chaude, et d’un joli modelé. » (Le Progrès artistique, 14 mai 1896, Le Salon du Champ de Mars, article de Papirus Carbo, page 150) (SNBA 1896, Lassitude n° 1089).

1896 :

« TÊTE DE JEUNE PAYSANNE » (N° 1090).

1896 :
« A CAPRI » : Panneau décoratif intégré au projet de Salon-Bibliothèque, dans le cadre du Salon de la Nationale, sous la direction de Guillaume DUBUFE.
Pastels : « LA VENDANGE » (N° 1196), « LA SORTIE DE LA BERGERIE » (N° 1197)
« Bien étrange, la femme de Rosset-Granger qui s’amuse à faire des effets d’abat-jour rouge sur ses petits nénés »(La Vie Parisienne, 11 avril 1896, Aux Pastellistes, page 212) (Société des Pastellistes Français 1896, La sortie de la bergerie n° 1197).
et « DANS LE RUISSEAU » (N° 1198).

1896 :

Société des Pastellistes Français : « SOURIRE » (N° 133), « TÊTE, ETUDE » (N° 134), « LA LAMPE, ETUDE » (N° 135) et « LA SALAMMBÔ » (N° 136).

 » Rosset-Granger semble se préoccuper plutôt en ce moment des effets de lumière obtenus artificiellement. C’est ce qu’attestent encore diverses figures, à l’expression énigmatique avec tous les effets singuliers que produit la clarté d’une lampe apparente ou invisible, et surtout une Salammbô s’amusant à charmer son serpent en pleine nuit qu’éclaire vaguement un lampadaire très haut placé sur la terrasse de son palais d’où la ville est vue très au loin dans une bleuâtre obscurité, composition pittoresque qui rend très curieusement la scène inspirée par le romancier » (Le Journal des Artistes, 26 avril 1896, Exposition de la Société des Pastellistes, Galerie Georges Petit (suite), Texte de A.-E. Guyon-Verax, page 1430), (Société des Pastellistes Français 1896 : La Salammbô).

1897 :

« LA SOMNAMBULE » (N° 1095), Huile sur toile 1580 x 1075, Vente Christie’s New York le 22 mai 1997,

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1897-1580-x-1075-la-somnanbule-vendu-christies-ny-22-05-97-13000-ht« M. Rosset-Granger est toujours sans rival dans l’art d’inventer des effets de lumière et d’en tirer le plus curieux parti » (Revue de Famille, 1er juin 1897, La Vie Contemporaine, Les Salons de 1897, article de Roger Vallier, page 274) (SNBA 1897, La Somnambule n° 1095)

1897 :
« VICTIME DU DEVOIR » (N° 1096),

« M. Rosset-Granger garde toujours sa même prédilection pour les effets de lumière artificielle ;  Ses figures de fillettes, dont l’une Victime du devoir, c’est-à-dire endormie sur le dit devoir, sont charmantes en tout point » (Journal des Artistes, 11 juillet 1897, Le Salon du Champ-de-Mars, Article de A. E. Guyon-Verax) (SNBA 1897, Victime du devoir n° 1096).

1897 :

« SOURIRE » (N° 1097), « LA PETITE BRODEUSE ».(N° 1098) et « LES MODELEURS » (N° 1098bis).

Société des Aquarellistes Français 1897 :

« LA GRAND-MÈRE, Cathédrale de Fécamp », (N° 249), « PORTE D’ÉGLISE, SAINT MARC DE VENISE » (N° 250), « LE GRAIN » (N° 251), « L’ORAGE » (N° 252), « BAS-CÔTE DE LA CATHÉDRALE DE FÉCAMP » (N° 253),
« LE SIGNAL » (N° 254),
« Le Signal, jeune femme en peignoir rose, agitant son mouchoir, appuyée à la rampe d’une terrasse, au bord du lac, sous un pin échevelé par M. Rosset-Granger »(Le Rappel, 9 mai 1897, Les Aquarellistes, article de Charles Frémine, page 3) (Société des Aquarellistes Français 1897, Le Signal n° 254).
« DEVANT LA MADONE » (N° 255) et « PORTRAIT DE MONSIEUR LOUIS GANDERAX, SOUVENIR D’UN BAL COSTUME » (N° 256).

1898 :
« PORTRAIT DE MADAME FERDINAND. BOURDET » (N° 1065),
Dans la salle suivante apparaissent des portraits pleins de caractère : Mme F. B. et Mlle M. D., de M. Rosset-Granger » (Le Radical, 1er mai 1898, Les Salons de 1898, article de Paul Heusy, page 4) (SNBA 1898, Portrait de Madame Fernand Bourdet n° 1065 et Portrait de Mademoiselle Mireille Dubufe n° 1066).

1898 :
« PORTRAIT DE MADEMOISELLE MIREILLE DUBUFE » (N° 1066), Exposé aussi lors de l’Exposition Internationale de Bruxelles en 1897,
« Un délicat petit portrait de jeune fille de Rosset-Granger » (Le Temps, 8 février 1898, L’Exposition du Cercle de l’Union Artistique, article de Thiébault-Sisson, page 2) (SNBA 1898, Portrait de Mademoiselle Mireille Dubufe n° 1066).

1898 :
« PORTRAIT DE MONSIEUR GASTON SCIAMA (esquisse) » (N° 1067) et « JEUNE FILLE A LA MANDOLINE » (N° 1067bis).

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Pastels : « PORTRAIT DE MONSIEUR F. B…, esquisse » (N° 1068) et « PORTRAIT DE MADAME X… (N° 1069).
Société des Aquarellistes Français : « LE BERCEAU » (N° 216), « ARIANE, (esquisse) » (N° 217) et « ÉTUDE » (N° 218).

1899 :
« PORTRAIT DE LOUTE, MADEMOISELLE LOUIS GANDERAX » (N° 1267),

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« La Comtesse de Saint-Jacques. – Mais ce petit portrait de fillette, de Rosset-Granger, qui est-ce donc ? M. Petitlivre – Mlle L.G., dit le livret, c’est bien ça, qu’elle est mignonne avec son petit air pensif et renseigné : » (La Vie Parisienne, 6 mai 1899, Les Salons Parisiens, article de Cleg, page 244)  (SNBA 1899, Portrait de Loute, Mlle Ganderax n° 1267).

1899 :
« PORTRAIT DES PETITES BALLU, ADRIENNE ET MARIE-CLAIRE» (N° 1268), « ÉTUDE EN GRIS » (N° 1269), « ÉTUDE EN ROUGE » (N° 1270),
« ÉTUDE DE DOS ou LE REPOS DU MODÈLE » (N°1271), Huile sur toile 765 x 600, Don au Musée Henri Boez de Maubeuge en 1956 par Marcelle Rosset-Granger (N° Inventaire 956.19.1),

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« Rosset-Granger, avec un portrait de fillette parisienne, éveillée et nerveuse, avec deux liseuses, d’un sentiment purement français, expose aussi une étude de nu souple et vivante, où l’on sent un goût fervent d’art et de vérité » (La Revue de Paris, 1er juin 1899, Les Salons de 1899, article de Maurice Hamel, page 677) (SNBA 1899, Portrait des petites Ballu, n° 1268 et Etude de dos ou Le repos du modèle, n° 1271).

1899 :
« TÊTE D’ÉTUDE » (N° 1272), « AUTOPORTRAIT » (N° 1273), Huile sur panneau d’acajou 460 x 360,

e-rosset-granger-huile-sur-panneau-1899-acajou-460-x-360-autoportrait-au-chapeau-signee-erg-et-datee-1899« Beaucoup de finesse dans le portrait de Rosset-Granger par lui-même ; sa fine tête émergeant d’un fond brun » (Le Feu Follet, juillet 1899, Salons Parisiens, Critique d’Art, article de Papillon) (SNBA 1899,  Autoportrait n° 1273).

1899 :
« FERDINAND ».
Société des Aquarellistes : « VIGILANCE MATERNELLE », « LA MÈRE AVEC LE BEBE AU BERCEAU », « Esquisse des BARQUES PAVOISÉES », « LE COUP DE NUIT A LA ROCHE-GUYON », « COUP DE VENT » et « FÊTE DE NUIT » (Indication Journal 26 mai 1899).
« Mes compliments au Coup de vent et à la Fête de nuit de M. Rosset-Granger » (Le Monde Illustré, 8 avril 1899, Exposition à la Société d’Aquarellistes Français, article d’Oliver Merson, page 271) (Société des Aquarellistes 1899, Coup de vent et Fête de nuit) et « SAPHO ».

Société des Pastellistes : « ÉTUDE DE DOS AVEC CLARA  » (N° 136)

e-rosset-granger-gouache-sur-papier-1899-180-x-142-le-repos-du-modele-esquisseGouache et Pastel 184 x 142 mm.
Étude préparatoire pour Le repos du modèle, 1899.

« Signalons avec éloge, l’Étude de M. Rosset-Granger » (Le Monde Illustré, 22 avril 1899, Société de Pastellistes Français, article d’Olivier Merson, page 311) (Société de Pastellistes 1899, Etude de dos avec Clara).
et « PETITE TÊTE DE DOMENICO » (N° 137) (Indication Journal ERG 26 mai 1899).
« Je cite enfin… une charmante tête d’enfant de Rosset-Granger » (Journal des Débats Politiques et Littéraires, 4 avril 1899, Exposition – Les Pastellistes) (Société des Pastellistes 1899 : Petite tête de Domenico).

1900 :
Exposition Centennale Universelle de 1900 : « PORTRAIT DE MADAME S… ».
Exposition Décennale Universelle de 1900 : « PORTRAIT DE MADEMOISELLE MIREILLE DUBUFE » N° 1672, « LA SOMNAMBULE » N° 1673, « TROIS PORTRAITS » N° 1674 à 1676.
Exposition Universelle de 1900, Section des Arts décoratifs : « Panneaux décoratifs pour le Pavillon du Bassin des Aciéries de Longwy : « LE FONDEUR, LE MINEUR, LA COULÉE, LA CÔTE ROUGE et L’ENTRÉE DE LA MINE » qui lui vaudront une Médaille d’Or.

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« Les usines de l’Est forment dès lors un ensemble des plus importants. L’Exposition de 1900 fut pour elles l’occasion d’un véritable triomphe. Le groupe des usines de l’est (…) était représenté à l’Exposition, à titre collectif par le comptoir métallurgique de Nancy, qui se trouvait naturellement hors concours par la présence d’un certain nombre des ses membres dans divers jurys. L’exposition du Comptoir de Longwy formait un élégant salon orné de peintures décoratives remarquables, dues au pinceau de M. Rosset-Granger. Ces peintures faisaient ressortir principalement le côté pittoresque de l’exploitation du minerai de fer à ciel ouvert ; une seule représentant la coulée d’un haut fourneau, intéressant par son sujet la classe 64 (*).
(*) Ces peintures figuraient à l’Exposition de Nancy. Voir le Stand du Comptoir page 261 (photo du stand) (L’Essor économique de la Lorraine, Rapport général de l’Exposition Internationale de l’Est de la France, Nancy 1909, Les Mines et la Métallurgie, article de Louis Laffitte, page 251) (Exposition Universelle de Paris 1900, Section des Arts décoratifs (M. Rosset-Granger, médaille d’or) : Décorations de la Section métallurgique du bassin des aciéries de Longwy : Le fondeur, le mineur, la coulée, la côte rouge et l’entrée de la mine).
« Les trois panneaux pleins sont occupés par trois grands tableaux du peintre Rosset-Granger qui ornent d’ordinaire le cabinet directorial du Comptoir. Ils représentent l’exploitation du minerai de la Côte Rouge, la vue d’un haut-fourneau et celle d’une coulée de métal. Ces spectacles intéressent beaucoup les visiteurs » (Le Travail National, 1909, Les aciéries de Longwy, page 586) (Décorations de la Section Métallurgie du Pavillon du Bassin des Aciéries de Longwy à l’occasion de l’Exposition Universelle de Paris en 1900 : panneaux représentant Le fondeur, le mineur, la coulée, la côte rouge et l’entrée de la mine).

Société des Pastellistes : « LA BULLE DE SAVON » (N° 155), « LA RUE ROYALE » (N° 156), « L’OMNIBUS » (N° 157), « ETUDE DE NU » (N° 158), « CLAIRE DE LUNE » (N° 159)  et « PORTRAIT D’ENFANT, HENRI LE FILS DU DOCTEUR BOULAY »  (N° 160).
« Rosset-Granger pour un portrait d’enfant d’un gris très fin » (Le Temps, 11 avril 1900, Choses d’Art, Le Salon des Pastellistes, article de Thiébault-Sisson, page 3)  (Société des Pastellistes 1900, Portrait du petit Henri, le fils du Docteur Boulay).

1901 :
Société des Pastellistes :  « AU CLAIR DE LUNE » (N° 105), « PRES DU FEU » (N° 106), « RÊVERIE » (N° 107), « AVANT LE BAIN » (N° 108), « TÊTE BLONDE » (N° 110), « DANS UNE TENTE, ETUDE » (N° 111), « FONTAINE » (N° 112) et « LE PETIT MARCHAND DE PLÂTRE SUR LE PONT  » (N° 109),

e-rosset-granger-pastel-1901-315-x-410-le-petit-marchand-de-platre-sur-le-pont-alexandre-iiiLe petit marchand de plâtre sur le Pont Alexandre III. Pastel 315 x 410 mm, 1901

« … M. Rosset-Granger, série d’études délicates et originales offrant de petites traînées de lumière, joliment suivies, d’une extrême délicatesse de touche et d’un grand chemin artistique » (Société des Aquarellistes et Pastellistes Français 1901).
« Très bien le « Petit Italien » de M. Rosset-Granger, ainsi que « Rêverie » et « Tête blonde » (Le Journal, 1er avril 1901, Les Pastellistes, article de Karl Cartier, page 2) (Société des Pastellistes Français 1901, Le petit marchand de plâtre sur le pont, Rêverie et Tête blonde).

1902 :
« L’ACCIDENT » (N° 1012), Huile sur toile 1480 x 1980, acquis par l’État (Musée de L’Hospice Saint-Roch d’Issoudun),

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La toile « L’accident » telle qu’elle est présentée dans une salle
de l’Hospice Saint Roch à Issoudun.

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1902-laccident-salon-nationale-des-beaux-arts-de-paris-1902-musee-dissoudun « Salle 17 …Le tableau de genre intitulé L’Accident, par E. Rosset-Granger, représente une de ces scènes comme il est donné au flâneur d’en apercevoir vingt par jour dans Paris. Un passant quelconque vient d’être renversé par un fiacre ou une automobile, ou bien a reçu quelque cheminée sur la tête. Deux agents l’on transporté à la pharmacie la plus proche. Il est impossible de rien apercevoir à travers les vitres de la devanture ; n’importe, pendant longtemps encore, stationneront là, cherchant à deviner quelque chose, des têtes effarées et curieuses, qui se poussent, s’invectivent, jusqu’à ce qu’un de ceux qui veillent à notre sécurité viennent les faire rompre et… circuler. Cela est vivant, spirituellement traité, quoique peut-être l’auteur ait donné au sujet une importance qu’il ne méritait pas » (Revue du Monde Catholique, 15 mai 1902, La Peinture au Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, article d’André Pavie, page 472)  (SNBA 1902, L’Accident, n° 1012).
«  Dans la peinture de mœurs, Rosset-Granger introduit un intérêt momentané en groupant devant la boutique d’un pharmacien, le soir, la curiosité éveillée ou anxieuse des passants, modistes ou gamins, qu’un accident rassemble. Les physionomies sont finement observées et les problèmes de lumières bien résolus » (Les Arts, Revue mensuelle des musées, mai 1902, A la Société Nationale des Beaux-Arts, article de Maurice Hamel, page 19) (SNBA 1902, L’Accident n° 1012).

1902 :
« FANTAISIES DES RUES DE PARIS » (N° 1013), « BOHÉMIENNE » (N° 1014), « PORTRAIT DE FREDERIC MONTENARD » (N° 1015) et « PORTRAIT DU MARÉCHAL DES LOGIS J.M.L… » (N° 1016).
Société des Pastellistes : « MATERNITÉS » (Lots 129, 130 et 131), et « ESSAIS ET NOTATIONS DE CHORÉGRAPHIE MODERNE, inspirés par Loïe Fuller » (N° 132,133 et 134).
« Vous serez bien étonné que l’exposition des Pastellistes (chez Georges Petit) ne fût pas intéressante. Elle l’est donc (…) Et vous vous arrêterez aux études de lumière, Essais et notations de chorégraphie moderne de M. Rosset-Granger, d’après Loïe Fuller ; ces études sont amusantes et jolies » (Le Journal des Débats Politiques et Littéraires, 17 avril 1902, Les Pastellistes, article d’Édouard Sarradin, page 3) (Société des Pastellistes Français 1902, Essais et Notations de chorégraphie moderne).
« Ou encore M. Rosset-Granger, dans des études d’éclairage très ingénieuses, nous montre les essais du « fullerisme » à peu près les plus réussis qui aient été jusqu’ici tentés » (Le Figaro, 14 avril 1902, La Vie artistique : Les pastellistes, article d’Arsène Alexandre, page 5) (Société des Pastellistes Français 1902, Essais de notations de chorégraphie moderne).

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Etude pour Loïe Fuller, notations chromatiques, Craies noire et blanches 460 x 305 mm.

1903 :
«  PORTRAIT DE MADAME A. M… » (N° 1124),

« M. Rosset-Granger se complait depuis longtemps dans la recherche d’effets lumineux les moins ordinaires, si réels qu’ils puissent lui être apparus. Ajoutons qu’il se montre fort habile dans cet exercice difficile. Des six envois qu’il expose, un seul est vraiment et seulement un portrait, excellent d’ailleurs, celui de Mme A. M…, belle personne, non toute jeune, mais fort agréable encore dans son ample paletot de soie blanche aux manches bouffantes et surchargée de dentelle noire transparente. » (Journal des Artistes, 17 mai 1903, SNBA, Texte d’A.-E. Guyon-Verax, page 4125), (SNBA 1903, Portrait de Madame A. M… n° 1224).

« PORTRAIT GRIS » (N° 1125), Huile sur toile 730 x 605 mm, Vente Pierre Bergé 28 janvier 2009.

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1907-740-x-605-marcelle-ou-le-portrait-en-gris« On verra avec beaucoup d’intérêt (…) une figure de jeune femme où se manifeste un réel progrès dans le talent de Rosset-Granger » (Le Temps, 2 février 1903, Le Salon de l’Épatant, article de T. S., page 2) (SNBA 1903, Portrait Gris, n° 1125).
« Les portraits, comme à l’ordinaire, dominent, et plusieurs qu’on doit d’abord signaler trahissent un effort original. Jamais, je crois bien, M. Rosset-Granger n’a exécuté un aussi séduisant portrait que celui de Miss M. D… (Marcelle Dehaye) dans une harmonie grise d’une profonde intimité » (Le Journal, 3 février 1903, Les Petits Salons, A l’Épatant, article de Marcel Fouquier, page 3) (SNBA 1903, Portrait Gris, n° 1125).
« M. Rosset-Granger est aussi un moderniste, cet artiste consciencieux s’est dépassé dans un portrait en gris très séduisant, d’une jolie allure, très intime » (Le Journal du Dimanche, Paris 3 mai 1903, Causerie artistique, article de Gustave Kahn) (SNBA 1903, Portrait Gris, n° 1125).

1903 :
« AU THÉÂTRE » (N° 1126),
« Au Théâtre » de M. Rosset-Granger est un amusant effet de lumière se jouant sur la rieuse figure d’une jeune femme qui occupe le devant de l’avant-scène » (Le Ménestrel, 3 mai 1903, La musique et le théâtre aux Salons du Grand-Palais, article de Camille Le Senne) (SNBA 1903, Au Théâtre, n° 1126).

« Au Théâtre, de Monsieur Rosset-Granger. Ravissant sous tous les rapports. D’une opposition de tons chauds et clairs. Excellent tableau. L’un des plus remarquables » (L’Autorité, pour Dieu, pour la France, 17 avril 1903, Le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, article de Paul Léoni).

« C’est un portrait aussi, sans nul doute, et même fort séduisant, cette figure qu’il montre Au Théâtre, dans la loge où elle contemple le spectacle, très charmante blonde en effet, avec son originale coiffure un peu masculine, sous son large chapeau « Montpensier », dans tous ses riches atours, avec son joli visage souriant et qui marque si bien sa joie et sa gaité ; mais évidemment, l’ardent effet de lumière qui illumine toute sa personne est encore, semble-t-il, dans la pensée de l’artiste, ce qui doit dominer. » (Journal des Artistes, 17 mai 1903, SNBA, Texte d’A.-E. Guyon-Verax, page 4125), (SNBA 1903, Au Théâtre n° 1126).

« RÊVERIE » (N° 1127), Huile sur toile 800 x 630 mm.
« de M. Rosset-Granger, une délicieuse Rêverie, toute inondée de lumière » (Le Penseur, mai 1903, n° 5, Le Salon de la Société Nationale, article d’Eugène Hoffmann, page 186) (SNBA 1903, Rêverie, n° 1127).

« LA MARCHANDE DE VIOLETTES » (N° 1128), Huile sur toile 620 x 500 mm. et « A L’ATELIER » (N° 1129).

Société des Pastellistes : « NUIT DE NOËL » (N° 120), « L’AVANT-SCENE » (N° 121), « INSOMNIE » (N° 122), « FANTAISIE »  (N° 123) et «  FEMME RESPIRANT UNE ROSE ».
« L’Avant-Scène, de M. Rosset-Granger et sa Femme respirant une rose ont une même grâce intime de parisianisme d’éclairage » (Le Journal, 6 avril 1903, Chez les Pastellistes, article de Marcel Fouquier, page 3) (Société des Pastellistes Français 1903, L’Avant-Scène et Femme respirant une rose).

1904 :
« ÉTUDE » (N° 1088), « MATERNITÉ » (N° 1089), « SURPRISE ! » (N° 1090),« INSOMNIE » (N° 1091),
« M. Rosset-Granger est indiscret mais il n’est pas inconvenant, même quand il écarte le rideau d’un lit sur l’insomnie d’une agréable femme rousse » (La Revue de Paris, 15 mai 1904, Les Salons de 1904, article de Marcelle Tinayre, page 383) (SNBA 1904, Insomnie, n° 1091).

1904 :
« CONVOITISE » (N° 1092, acquis par le Musée de Philadelphie, États-Unis).

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« Salle II. M. Rosset-Granger étudie de curieux effets de lumière naturelle ou artificielle et sa « Convoitise », un gamin dont le visage se reflète dans la vitrine d’un pâtissier dont il guigne les friandises, attire beaucoup les regards » (Le Matin 16 avril 1904, Les Salons Parisiens, Vernissage de la Société des Beaux-Arts, article d’Emile Molinier, page 1) (SNBA 1904, Convoitise, n° 1092).
« Pour moi, j’aime mieux vous toucher un mot de  cette petite toile si chaude, si vraie dans sa touchante simplicité que M. Edouard Rosset-Granger, intitule «Convoitise. A l’heure confuse où dans Paris les vitrines s’allument, où les lumières dans la boutique des pâtissiers mettent comme des reflets de tentation sur tant de choses affriolantes, un petit garçon blond, à la mine pâlotte et sympathique reste hypnotisé par l’alléchante vision, devant une de ces devantures. Et tout ceci est très habillement et très chaleureusement rendu »(La Justice, 25 avril 1904, page 4)
(SNBA 1904, Convoitise, n° 1092).

1904 :
« SOLITUDE, LISEUSE A TABLE » (N° 1093), Huile sur panneau 375 x 460 mm.

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1905 :
« PORTRAIT DE MADEMOISELLE RENÉE DU MINIL » (N°1058), Huile sur toile 660 x 650 mm,  Vente HDV Lancry & Camper Corbeil 2 avril 2016, puis Vente Auxerre 9 juin 2019,

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« Salle XI. M.Rosset-Granger enlaidit en l’enjolivant un bien joli modèle de qui le pur ovale eût séduit Bernardino Luini »(Gil Blas, 14 avril 1905, Le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, article de Louis Vauxcelles, page 1) (SNBA 1905, Portrait de Mademoiselle Renée du Minil n° 1058).

1905 :
« PIZZICATO ou CLARA AU VIOLON » (N° 1059, Huile sur toile 815 x 650 mm),

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« Mais dans cet ordre de composition l’œuvre maîtresse du Salon est le Pizzicato de M. Rosset-Granger, étude d’une jeune violoniste, dont le chapeau noir à plume rose ombrage les yeux extatiques, les lèvres entr’ouvertes par la ferveur de la virtuosité. Justesse de l’harmonie, parfaite combinaison du jeu des valeurs, tout concourt à styliser ce beau portrait » (La Revue Théâtrale, 1905, N° 1 à 12, page 758) (SNBA 1905, Pizzicato ou Clara au violon, n° 1059).

1905 :
« FEMME A SA TOILETTE » (N° 1060), « LA CONVALESCENTE » (N° 1061)
« Lundi 6 février ; Avez-vous été à l’Épatant ? Rosset-Granger ? Avez-vous regardé le coussin sur lequel la dame s’appuie ? – Non, je n’ai pas… – Un coussin pareil suffit à faire juger un artiste. Impossible même de l’acquitter » (La Presse, 10 février 1905, Le carnet des heures, article de Martin Gale, page 3) (SNBA 1905, La Convalescente n° 1061).
« La Convalescente de M. Rosset-Granger est un excellent buste de jeune fille, avec un bel effet de lumière » (Le Figaro, 23 mars 1906, L’Exposition Internationale du Palais des Beaux-Arts de Monte Carlo, article de J. Darthenay, page 3) (SNBA 1905, La Convalescente, n° 1061).

« VI. Etude de femmes. La Convalescente, de M. Edouard Rosset-Granger, est un remarquable buste de jeune fille, d’une impression bien intime, et d’un très sûr effet d’éclairage. (Le Journal des Arts, 4 avril 1906, l’Exposition Internationale du Palais des Beaux-Arts de Monte Carlo, article de Cobalt, page 2) (SNBA 1905, La Convalescente n° 1061).

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1905 :
« PORTRAIT DE MONSIEUR M. B… » (N° 1062).

Société des Pastellistes : « LA PHARMACIE ou L’ACCIDENT » (N° 116), « COQUETTERIE » (N° 115), « PORTRAIT DE MADEMOISELLE P… » (N° 114) « PORTRAIT DE MADEMOISELLE R… AU CHAPEAU ROUGE » (N° 113) et « LA VERTE », Pastel 450 x 380mm, (N° 117).

Par M. Rosset-Granger, Mlle R…, une gracieuse enfant au chapeau rouge ; Mlle P…, une fillette brune parée de nœuds roses ; Coquetterie, une jeune femme au miroir, éclairée par une lampe ; L’Accident, un groupe de curieux massés à la porte d’une officine de pharmacien, et La Verte, un pauvre alcoolique, appuyé contre la colonne d’un réverbère et inondé du reflet émeraude d’un de ces gigantesques bocaux qui trônent à la devanture de la même pharmacie et qui, dans la circonstance revêt un sens symbolique (Le Journal des Arts, Chronique de l’Hôtel Drouot, 22 avril 1905, Société des Pastellistes Français, Texte de Jules de Saint-Hilaire, page 1).

1906 :
« LE REFLET » (N° 1054), Huile sur toile. Vendu Morel Chaumont 19 novembre 1989.

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1905 495 x 315 Le reflet (SNBA 1906 n° 1054). Vente Morel Chaumont 19.11.1989

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1905-450-x-270-le-reflet-snba-1906-n-1054Étude préparatoire pour Le Reflet, Huile sur toile 450 x 270 mm.

« Salle VI ter. Rosset-Granger, 1054, Le Reflet, jeu de lumière dans les mousselines d’un rendu exact » (Le Matin, 14 avril 1906, Les Salons parisiens, la Société Nationale des Beaux-Arts, article de Victor Swarte, page 4) (SNBA 1906, Le Reflet n° 1054).

1906 :
« A L’AUBE » (N° 1055, Huile sur toile 635 x 533 mm, Vente Keys Fine Arts Norwich (GB) le 13 mars 2015,

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« Dans la série d’intérieurs où il déploie ses rares qualités de clair-obscuriste, M. Rosset-Granger a envoyé une étude féminine du charme le plus pénétrant : A l’aube. Cette belle personne, en domino traînant et de simple allure, qu’un mouvement très naturel penche vers la fenêtre rosée d’une lueur d’aube matinale, tandis que derrière elle la salle de fête garde son éclat artificiel, est une gracieuse fantaisie réaliste, relevée par un fin coloriste » (Le Ménestrel, 6 mai 1906, La musique et le théâtre aux Salons du Grand-Palais, article de Camille Le Senne) (SNBA 1906, Le Reflet, n° 1054, A l’Aube, n° 1055, La Lettre, n° 1056 et Crépuscule, n° 1057).

1906 :
« LA LETTRE » (N° 1056), « CRÉPUSCULE » (N° 1057), « SUR LE PONT DU CARROUSEL » (N° 1058) et « LA LUTTE » (N° 1059).
Pastels : « LA SOURIS », « LA LETTRE »,
« La Lettre de M. Rosset-Granger est d’une expression de rêverie charmante, et d’une savante lumière » (Le Figaro, 25 février 1907, L’Exposition du Palais des Beaux-Arts de Monte Carlo, article de J Darthenay, page 3) (SNBA 1906, La Lettre, Pastel).
« SUR LE PONT DES SAINTS-PÈRES » et « MATERNITÉ ».

Société des Pastellistes : « CREPUSCULE D’HIVER » (N° 107), « CREPUSCULE D’ETE » (N° 108) et « NATURE MORTE » (N° 109).

1907 :
« AU PIED DE L’AUTEL » (N° 1031), Huile sur toile 810 x 640 mm.

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1907 Au pied de l'autel 810 x 640 (SNBA 1907 n° 1031). Vendu Carbajal Antibes 10.04.21 5200 € HT (6500 € TTC)

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Étude préparatoire pour « Au pied de l’autel », Huile sur toile 396 x 286 mm, 1906

« Au pied de l’autel » par Rosset-Granger a été très admiré quand elle a été montrée au Cercle de l’Union Artistique. Une jeune et jolie mariée est agenouillée sur un prie-dieu devant l’autel. La tête et les mains sont bien modélisés et le voile blanc vaporeux, soutenu par les tons plus lourds de la nef de l’église. C’est une composition harmonieuse et équilibrée. Bien que ce soit le travail le plus important de l’artiste, je ne suis pas sûr que je ne préfère pas la tête, facile, naturelle et bien en place de la « Liseuse » (Bulletin du Nordeutscher Lloyd Bremen, Revue mensuelle Paris, mai 1907, Le Salon du Champ-de-Mars, article de Robert B. Douglas) (SNBA 1907, Au pied de l’autel n° 1031 et Liseuse n° 1034).

1907 :
« COQUETTERIE » (N° 1032),
« FEMME A SA TOILETTE » (N° 1033),

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« N’oublions pas une charmante Femme à sa toilette de M. Rosset-Granger » (La Revue de Paris, 1er juin 1907, Une promenade aux Salons de 1907, article de Gérard D’Houville, page 584) (SNBA 1907, Femme à sa toilette n° 1033).

1907 :
« LISEUSE » (N° 1034, Huile sur panneau  430 x 375 mm),

E.ROSSET-GRANGER Huile sur panneau 1907 430 x 375 Liseuse, Marcelle (SNBA 1907 n° 1034). Blanchet 27.02.20 750 €. Coll. B et F.Dehay

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1907 :
« ROMANCE » (N° 1035) et « AU CRÉPUSCULE » (N° 1036).

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Pastels : « FLEURS » (N° 1606) et « L’ACCIDENT » (N° 1607).

1908 :
« LISEUSE ou LA NUQUE » (N° 1006), Huile sur toile 500 x 430 avec Marcelle Rosset-Granger pour modèle (Vente le 21 avril 2007, HDV Lancry & Camper Corbeil).

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1908 :
« PORTRAIT DU PEINTRE ALFRED AGACHE » (N° 1007), Huile sur toile 450 x 600 mm.

0000 Alfred AGACHE Portrait

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« Une pochade remarquable est le portrait de peintre Agache, le chapeau mou sur l’oreille, le sourire fin et bienveillant, dans la longue barbe blonde, M. Rosset-Granger a le sentiment de la vie et de la couleur »(Le Gaulois, 2 mars 1908, Bloc-notes parisien, Très Épatant (Cercle de l’Union Artistique), article de Tout-Paris) (SNBA 1908, Portrait d’Alfred Agache n° 1007).
« M. Agache est représenté par un beau portrait sévère comme tout ce que peint cet artiste souriant, dont M. Rosset-Granger nous donne une très vivante image »(La Revue de Paris, 1er juin 1908, Les Salons de 1908, article de Fernand Gregh, page 656) (SNBA 1908, Portrait du peintre Alfred Agache, n° 1007).

1908 :
« LE BILLET DOUX » (N° 1008)

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« De Monsieur Rosset-Granger, le Billet doux, toile exquise dégageant un charme indicible » (Le Journal, Quotidien littéraire, artistique et politique, 5 mars 1899, L’Exposition Internationale de peinture et de sculpture de Monte-Carlo, article de K. de Martori, page 5) (SNBA 1908, Le billet doux n° 1008).

1908 :
« PORTRAIT DE MADAME X… » (N° 1009).

« …Par M. Rosset-Granger, dont le Portrait de Mme X, orné d’une jolie expression, présente un merveilleux détaché de sa physionomie ». (Journal des Artistes, 14 juin 1908, Le Salon de la SNBA, Texte d’Eugène Hoffmann), (SNBA 1908, Portrait de Madame X n°1009).

Pastel : « SOUS LA LAMPE ».

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1909 :
« LE SOIR DE LA VIE ou LES NOCES D’OR » (N° 1014), deux huiles sur toile (4980 x 2820 mm) installées dans l’Escalier d’honneur de la Mairie de Saint-Mandé après le Salon du Champ de Mars.

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1909-le-soir-de-la-vie-les-noces-dor-7-reunion-des-deux-panneaux« Vaste composition de Rosset-Granger, pour la mairie de Saint-Mandé : Le soir de la Vie. On fête les noces d’or de deux vieillards, dont l’homme rappelle le Sophocle que l’on voit à l’Opéra-Comique. Garçons et filles, légèrement vêtus, défilent en dansant. Groupes bien disposés. Coloration harmonieuse dans les gris et les mauves. Cette toile est destinée à voisiner avec celle de M. Dubufe dont nous aurons à parler »(L’Aurore, 15 avril 1909, Les Salons, La Société Nationale des Beaux-Arts, article de F. Robert-Kemp, page 2) (SNBA 1909, Le soir de la vie ou Les noces d’or, n° 1014).

1909 :
« LE RÉVEIL » (N° 1014), Huile sur panneau rond 330 x 330, Vente d’atelier à Drouot 17 juin 1942, lot 53).

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« L’académie des Beaux-arts a attribué les prix suivants : Prix Piot, de la valeur de 2.000 francs, à M. Rosset-Granger ; on sait que ce prix fondé par le propagandiste de la repopulation, est destiné à récompenser une Étude d’enfant nu de huit à quinze mois » (Le Radical, 7 juillet 1909, Beaux-Arts, article d’Albert Gorey, page 3) (SNBA 1909, Le Réveil, n° 1014).

1910 :
« COQUETTERIE » (N° 1074), « L’ARRIVÉE AU CHÂTEAU » (N° 1075, Huile sur panneau)

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« Et pour terminer, citons la toile charmante de M. Rosset-Granger, vision délicieuse dune femme élégante en manteau de soie rentrant le soir de son parc sous le péristyle de son château » (Le Journal du Dimanche, 1er juin 1913, Une exposition en l’honneur du tricentenaire de Le Nôtre, L’art des jardins – Bagatelle, page 345) (SNBA 1910, L’arrivée au château n° 1075).

« Tout à fait gracieuse, L’Arrivée, une femme en toilette de soirée montant les marches d’un Casino quelconque et éclairée à la fois par le jour qui tombe, la lune qui se lève et les lampadaires. M. Rosset-Granger excelle à la notation et à l’amalgame sur la chair humaine de ces divers foyers lumineux » (Le Journal des Arts, 10 mars 1909, Cercle de l’Union artistique, article de Jules de Saint-Hilaire) (SNBA 1910, L’Arrivée au château n° 1075).

1910 :
« LE TUB » (N° 1076).

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e-rosset-granger-huile-sur-toile-1910-marouflee-sur-panneau-370-x-460-bebe-assis-etude-pour-le-tubÉtude préparatoire au Tub, 1910.
Huile sur toile marouflée sur panneau 370 x 460 mm.

« Bien agréable de rencontrer, alors, le gros mioche de M Rosset-Granger » (Notes d’Art et d’Archéologie, 1910 n° 11, article de J. Mersch) (SNBA 1910, Le Tub, n° 1076).

1911 :
« VENUS, ÉTOILE DU SOIR » (N° 1129, Huile sur toile)

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« Vénus, étoile du soir, œuvre brillante de M. Rosset-Granger (Le Magasin Pittoresque, juin 1911, Notes d’art, à la Société Nationale des Beaux-Arts, page 67).
« Il n’y a guère d’espoir non plus de garder en France, la nymphe moderne qui découvre aux ris et aux grâces étonnés le nouveau briquet automatique… Cette perle de Rosset-Grange ira évidemment en Belgique ».(La Vie Parisienne, 29 avril 1911, à la Nationale, article de Dorilas, page 312) (SNBA 1911, Vénus étoile du soir n° 1129).

1911 :
« PORTRAIT DE MADAME M. P… » (N° 1130).

e-rosset-granger-huile-sur-toile-1910-portrait-de-madame-m-p-salon-de-la-ste-nationale-des-beaux-arts-de-1911« Salle III. Un beau portrait de femme de M. Rosset-Granger » (L’Action Française, 17 avril 1911, Le Salon de la Société Nationale, article de L. Dimier, page 3) (SNBA 1911, Portrait de Madame M. P… n° 1131).

1912 :
« PORTRAIT, ÉTUDE ou PORTRAIT DE MARCELLE ROSSET-GRANGER AVEC UNE COIFFE DE PONT-AVEN », (N° 1129) Huile sur toile 650 x 550. Vente Pierre Bergé le 6 juillet 2009 puis Vente Bondu SVV le 28 juin 2013 (Indication Fonds Photo RMN n° VZD 5045).

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« De M. Rosset-Granger, plusieurs toiles qui ont un égal succès, son portrait-étude est tout à fait remarquable » (Le Gaulois, 14 avril 1912, Bloc-notes parisien, Le vernissage de la Nationale, article signé Tout-Paris, page 1) (SNBA 1912, Portrait-Etude ou Portrait de Marcelle avec une coiffe de Pont-Aven, n° 1129).

1912 :
« SOUS BOIS » (N° 1130), »,

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1912 :
« DANS LES VIGNES » (N° 1131),

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Étude préparatoire pour « Dans les vignes », Huile sur panneau 270 x 215

« De même, M. Rosset-Granger évoque la troupe voltigeante des Cupidons de l’école de Boucher dans une série de fantaisies décoratives où nous voyons ces comparses mythologiques marauder dans les vignes, enfler des bulles de savon, attirer les phalènes autour de globes lumineux, jouer à cache-cache dans les clairières. Le peintre a trouvé là matière à fines et spirituelles interprétations du nu, variations amusantes sur un thème éternel, et il a baigné l’ensemble d’un afflux de lumière subtilement épandue qui est presque de la couleur, qui est à tout le moins sa couleur »(Le Ménestrel, 4 mai 1912, La musique et le théâtre au Salon du Grand-Palais, article de Camille Le Senne, page 137) (SNBA 1912, Sous-bois, n° 1130, Dans les Vignes, n° 1131, La Bulle de savon, n° 1132, Les Moustiques, n° 1134).

1912 :
« LA BULLE DE SAVON, BÉBÉ JOUANT » (N° 1132),

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1912
« LES MOUSTIQUES » (N° 1134, Huile sur panneau rond).

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1913 :
« ÉTUDE DE NU » (N° 1099), Grand nu de femme aux cheveux longs, modèle peint à la même époque par Félix Vallotton,

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« Salle XIV. « La Vierge aux favoris blonds ». Monsieur Rosset-Granger peint une jeune femme à barbe, d’ailleurs blonde, qui se passe la main dans les favoris » (Le Journal, Quotidien Littéraire, Artistique et Politique, 13 avril 1913, Le Wagon Salon, Vernissage de la Société Nationale, Carnet d’un Incompétent, article de Curnonsky, page 6) (SNBA 1913, Etude de nu n° 1099).

« M. Rosset-Granger a voulu faire sans doute un discours contre la chair en peignant une présidente des Cent-kilos, une sexagénaire au corps de saindoux maquillé par un coiffeur, et ne désarmant pas dans sa luxure adipeuse et sénile. Ah ! quel poids lourd que certaines femmes !!! » (L’Univers, 19 avril 1913, Le Salon de la Nationale (Peinture), Texte de Charles Ponsonailhe, page 1).

1913 :
« PORTRAIT DE MADAME X… (N° 1100), « POCHADE DE FLEURS » (N° 1101), « CRÉPUSCULE » (N° 1102) « MATERNITÉ » (N° 1103)
et « PORTRAIT DE L’AUTEUR » (N° 1104, Huile sur toile 610 x 500 mm.

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« Salle 11. Rosset-Granger a peint son propre portrait (je ne le croyais pas si jeune) et le nu d’une matrone blonde et fière, au sein avantageux ; et aussi un aimable portrait de jeune femme » (Le Journal des Débats Politiques et Littéraires, 13 avril 1913, Le tour du Salon de la Société Nationale Beaux-Arts, article d’Edmond Sarradin, page 3)(SNBA 1913, Etude de nu n° 1099, Portrait de Madame X… n° 1100 et Portrait de l’auteur n° 1104).

Aquarelles : « ÉTUDE » (N° 1726), « INSOMNIE » (N° 1727) et « FARFADET » (N° 1728).

1914 :
« AU PAYS DES FÉES », (N° 1051),

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« L’ingénieuse fantaisie, qui est un fruit de notre sol, je la retrouve dans le Pays des Fées de Rosset-Granger » (Les Arts, Revue mensuelle des musées, collections, expositions, avril 1914, article de Maurice Hamel, page 12) (SNBA 1914, Au pays des fées n° 1051).

1914 :
« ISABEAU » (N° 1052),

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1914 :
« EXTASE » (N° 1053)

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1914 :
« PAYSAGE BRETON » (N° 1054).
Gouaches : « COQUETTERIE » (N° 1619), Gouache ovale acquise par l’État le 25 août 1920 et mis en dépôt sur le Croiseur cuirassé Montcalm,

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et
« DANS UN PARC » (N° 1620).

1918 :
Exposition au Petit Palais des Œuvres de Guerre (SAF et SNBA mai-juin 1918).
« VERDUN » (N° 410), Huile sur toile (Marcelle Rosset-Granger dans la même attitude que sur la toile de 1911).

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1919 :
« AUX HÉROS DISPARUS » (N° 2085, Huile sur toile)

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1919 :
« DANS LE PARC DU CHÂTEAU » (N° 2086, Huile sur toile), Marcelle Rosset-Granger en robe du soir au Parc Monceau,

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Étude préparatoire à « Dans le parc », Huile sur carton 550 x 320 mm, 1918.

« … et la jeune femme surprise au petit jour, de Rosset-Granger, joint à la séduction du dessin une coloration des plus douces » (Les Annales, Société académique d’architecture de Lyon, 1919, page 57) (SNBA 1919, Dans le parc du château, n° 2086).

1920 :
« NOCTURNE » (N° 902), « SOUS LA LAMPE » (N° 903)
et « VIGILANCE » (N° 904), Marcelle de dos, Huile sur panneau 465 x 375 mm, Vente Pierre Bergé le 6 juillet 2009.

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1920 :
Gouache : « SOUVENIR DE BRETAGNE » (N° 1315), 560 x 330 mm. Vendu Thierry de Maigret 9 avril 2021 720 euros HT.

E.ROSSET-GRANGER Gouache 1920 Souvenir de Bretagne ou Calvaire breton 560 x 380 1. Vendu Thierry de Maigret 09.04.21 720 € HT (SNBA 1920 n° 1315)

1921 :
« PRÉSAGE » (N° 988), « PRES DU BERCEAU » (N° 989), et « PORTE DE L’ARA-CALI A ROME, EFFET DE LUNE » (N° 990).
Gouache : « BAIGNEUSE » (N° 1513).
« La Baigneuse à la détrempe de M. Rosset-Granger… donne à cet ensemble une excellente tenue » (Le Monde Illustré, 30 avril 1921, Le Salon de la Nationale, Les peintres de plein air, article d’Albert Flament, page 325) (SNBA 1921, La Baigneuse n° 1513).

1922 :
« LE BILLET DOUX » (N° 851), «  ÉTUDE DE NU » (N° 852), « LISEUSE » (N° 853)

1922 :
« PETIT BACCHUS » (N° 1133), Huile sur toile 750 x 660mm, acquis par l’État (mis en dépôt au musée de Blois). Copie du « Jeune Bacchus malade » de Caravage.

1922 :
Gouache, Muzii : « CLAIR DE LUNE, PLAGE BRETONNE » (N° 1218).

1923 :
« SOUS-BOIS » (N° 1253), « CRÉPUSCULE » (N° 1254),

« LE ROSIER » (N° 1255), Huile sur toile 460 x 330 mm.

E.ROSSET-GRANGER Huile sur toile 1923 460 x 330 Le Rosier (1) SNBA 1923 n° 1255. NV Etude de Provence 17.06.18. Vendu Etude de Provence Uzès 20.10.19 700 €

«DANS LES BLÉS » (N° 1256, Huile sur panneau 350 x 265 mm),

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1923 :
« PRES DU FEU » (N° 1257)

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1923 :
« LE TUB » (N° 1258).

1924 :
« L’ANNONCIATION » (N° 1188), « DEUX AMIS » (N° 1189), Huile sur toile ovale,

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1924 :
« VIGILANCE » (N° 1190) et « PORTRAIT – POCHADE DU PEINTRE ADOLPHE THOMASSE (N° 1191, Huile sur toile).

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1925 :
« PRES DU FEU, BÉBÉ SE CHAUFFANT » (N° 338)
« Signalons (…)  Près du feu, de Rosset-Granger, rendu avec une richesse de décor, réalise une scène bien attrayante composée avec un réel talent » (La Revue des Beaux-Arts, 15 mai 1925, Société Nationale des Beaux-Arts, article de Colette Manoff, page 6) (SNBA 1925, Près du feu, bébé se chauffant n° 338).

1925 :
« SOUS LA LAMPE » (N° 339). « ÉTUDE ou NYMPHE SURPRISE » (N° 794)

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« Puis encore citer parmi les meilleurs envois les deux toiles de Rosset-Granger ».(La Presse, 1er mai 1925, Le Salon des Artistes Français et la Société Nationale des Beaux-Arts, article d’Eugène Cadel, page 2) (SNBA 1925, Près du feu, bébé se chauffant n° 338 et Sous la lampe n° 339).

« Salle VI. Dans un fauteuil peint à la diable, Rosset-Granger présente une Etude de nu bien éclairée de face » (L’Express du Midi, Toulouse, 8 août 1925, Société Nationale des Beaux-Arts, Deuxième Série, article de Guy de Montgailhard, page 3) (SNBA 1925, Session de juillet aux Tuileries, Etude ou Nymphe surprise n° 794).

1925 :
« FANTAISIE » (N° 795).
Ces deux dernières toiles (Étude de nymphe et Fantaisie) furent exposées lors de la deuxième série du Salon aux Tuileries du 10 juillet au 31 août 1925.

1926 :
« PRESAGE » 2ème version » (N° 1068), Vente à Stockhölm en 1926 ;

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1926 :
« JEUNE ARCHER » (N° 1069), Huile sur toile 590 x 350 mm, acquise par l’État le 27 juillet 1928. Mise en dépôt à la Mairie de Castera-Verduzan en 1932, toile disparue depuis.

1926 :
« DÉSOBÉISSANCE » (N° 1070), « LA MARCHANDE DE PLAISIRS » (N° 1071) ; Huile sur toile 780 x 570 mm et « LES BULLES DE SAVON » (N° 1072), Huile sur toile 780 x 570 mm.

1927 :
« LE SOMMEIL DE LA VIERGE » (N° 1026), Huile sur carton 800 x 450 mm. Vente Drouot 17 juin 1942, lot 78. Le décor est tiré d’une petite étude peinte à Belle-Ile-en-Mer dans la cour du menuisier Le Gallo à Le Palais, en 1926 ;

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1927 :
« LA SOURCE » (N° 1028) et « LA LEÇON DE FLUTE » (N° 1029).
«  Et puis voici des tableaux dont chacun mériterait une mention particulière (…) de Rosset-Granger une gracieuse leçon de flute » (Le Ménestrel, 13 mai 1927, La musique et le théâtre au Salon des Champs-Elysées, article de Camille Le Senne, page 216) (SNBA 1927, La leçon de flute n° 1029).

1928 :
« LE BON SAMARITAIN » (N° 1817), « LES MOUSTIQUES » (N° 1818), « LA PANIQUE » (N° 1819) et « BÉBÉ VOLEUR » (N° 1820).
Dessins : « NATURE MORTE » (N° 1815) et « NATURE MORTE » (N° 1816).

1929 :
« EFFET DE LUNE » (N° 1516),

« FEMME A SA TOILETTE » (N° 1517), Huile sur toile 655 x 655 mm,

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1929 :
« DANS LE PARC » (N° 1519).

1930 :
« NYMPHE SURPRISE », variante de « ÉTUDE » de 1922 (N° 1620),

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1930 :
« LA WALKYRIE, INCANTATION DU FEU » (N° 1621), « SOIR DE FÊTE » (N° 1622) et
« ÉTUDE DE BÉBÉ » (N° 1623).
«  Salle P et suivantes : (…) une délicieuse tête de bébé de Rosset-Granger ».(Le Radical, 6 juillet 1930, Le Salon de la Nationale, article de Roger Le Baron, page 6) (SNBA 1930, Étude de bébé n° 1623).

1931 :
« LA DOUCHE » (N° 1831), « LE VASE FLEURI » (N° 1832), Huile sur toile 550 x460 mm,

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Vase de Delft ayant servi de modèle pour la peinture « Le vase fleuri ». Hauteur : 18 cm.

1931 :
« PETITE BACCHANTE » (N° 1833), « JEAN QUI PLEURE » (N° 1834), « JEANNE QUI RIT » (N° 1835)et « FEMME A SA TOILETTE » (N° 1836).
« Salle V. Charmantes Études d’enfants par Rosset-Granger » (L’Express du Midi, Toulouse, 24 mai 1931, Le Salon de la Société Nationale des Beaux-Arts, article de Guy Montgailhard, page 5) (SNBA 1931, Jean qui pleure n° 1834 et Jeanne qui rit n° 1835).

1932 :
« DAME A SA TOILETTE » (N° 1739) et « PANIQUE » (N° 1740).

A partir de 1933 et jusqu’à sa mort le 26 juillet 1934, Paul Édouard ROSSET-GRANGER, malade, n’exposera plus.

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